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Als ich die Poesiezeitschrift «Zwischen den Zeilen» herausgab, kam mir 2000 per Post ein Gedichtzyklus ins Haus, der mir in seiner ganzen traurigen Schönheit als einer der eindringlichsten in Erinnerung geblieben ist: «Ich geh mir einen Vogel fangen». 20 Jahre später rief sich Heinz Peter Geißler wieder bei mir in Erinnerung mit einer Prosa, auf dem Weg zum Gedicht, und mit Gedichten, die fast noch weher sind als die «Vogellieder» von damals. Es spricht oder singt ein Ich, wie verloren in einem Traum: Leichter ist, ein Vogel zu fangen, als einer zu sein. Es ist ein schrecklicher Kampf zwischen Mensch und Vogel, ein Kampf um Leichtigkeit und Freiheit, und nicht ist ausgemacht, wer ihn gewinnt und die Schwere bezwingt.