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Gedichte über Ortlosigkeit und den Verlust von Heimat, die in eindrücklichen Versen davon erzählen, was es bedeutet, wenn Wurzeln abgetrennt werden.Heimat des Ich der Gedichte dieses Bandes ist die afghanische Hauptstadt Kabul, die »traurigste Stadt der Welt«, wie es in einem der Titel heißt. Diese Heimat ist nicht Ort des Glücks, vielmehr kann sie nur von außen erinnert, schreibend rekonstruiert werden, denn das Ich ist ihr fern und wirft die Frage auf, ob Heimat überhaupt ein Ort sei, »darin zu leben«. Warum sich dort zumindest momentan nicht leben lässt, bringen die Verse über Krieg und Unterdrückung von Mädchen und Frauen näher.In eindrucksvollen Bildern und Metaphern kreisen Mariam Meetras Gedichte um Fragen der Heimat, der Ortlosigkeit und des Exils.Sie klagen Missstände an, erinnern sich Gleichzeitig aber auch auf zärtliche Weise an die Schönheit dieses Ortes.Die FluchtIn jener NachtIn der ich nicht einschlafen konnte auf deinen HändenBrach ich aufEntfernte mich von dirAber etwas ist in mir zurückgebliebenDas täglich größer wirdDann zweifle ich an den AbständenIch zweifle an den Grenzen und den MeerenDie zwischen uns liegenJe ferner ich dem Gestern binDesto mehr fällt dein Schatten wieder auf meinen.