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Schon der Titel des Buches, die Worte »Ich will heiraten!« aus dem Munde einer jungen Ägypterin, ist eine Provokation. Während junge Männer diesen Satz gern gebrauchen, geziemt sich dies im mehrheitlich konservativen Land am Nil für eine »anständige« ägyptische Frau nicht. Da es zudem als unschicklich gilt, Männer unverbindlich kennenzulernen, bleibt nur der übliche Weg der Eheanbahnung, die »Salonheirat« im Hause der Braut. Ghada Abdelaal, die seit mehreren Jahren den vielbeachteten Blog »Wanna b a bride« betreibt, stellt die Salonheirat in den Mittelpunkt ihres Buches. Bride, eine ledige junge Frau, beschreibt die teils komischen, teils grotesken Situationen, in denen sich zehn Männer bei ihrer Familie als Heiratskandidaten empfehlen. Da gibt sich einer als Arzt aus, obwohl er noch nicht mal ein Studium abgeschlossen hat; ein anderer lebt ganz nach der Scharia, dem islamischen Recht, und möchte sie als Drittfrau ehelichen; ein weiterer schließlich beauftragt die Sittenpolizei, Erkundigungen über Bride und ihre Familie einzuholen. Die Absurdität der Begegnungen, die Schwächen der potentiellen Bräutigame und das lächerliche Verhalten der Bräute in spe machen das Buch zu einem Lesevergnügen der besonderen Art. Ghada Abdelaal nennt die Dinge locker beim Namen und geißelt mit ihrem Humor die Traditionen. Wer aber hinter der Komik auch die Tragik der Ägypterinnen sieht, versteht die eigentliche Absicht der Autorin.