Il est juste que les forts soient frappés
Lorsque Sarah rencontre Théo, l'amour les court-circuite. Elle, l'écorchée vive, la punkette, se laisse convertir au bonheur par ce garçon aux airs de lutin, fou de Capra et de Fellini. Dans le tourbillon joyeux de leur jeunesse, de leurs amis et de leurs passions, naît Simon, puis Camille. Mais très vite, comme si leur allégresse avait provoqué la colère de l'univers, les médecins détectent à Sarah un cancer qui progresse à une vitesse alarmante. On leur annonce un combat sans trêve. Refusant de céder au désespoir, le couple choisit de s'y lancer à corps perdu, comme dans une extraordinaire croisade dont leur courage et leur amour seraient les complices.