Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
Theodor W. Adorno vermutete 1952 in einem Brief an Gershom Scholem, dass Walter Benjamins Berliner Kindheit um 1900 in Deutschland nicht genügend rezipiert werde, "wegen des Traumatischen, das hierzulande sich geltend macht, sobald der Name Berlin fällt". Joachim Schlör geht der Frage nach, was es mit dem "Traumatischen" auf sich hat und was sich noch "geltend macht, sobald der Name Berlin fällt". Im Mittelpunkt stehen ehemalige Berlinerinnen und Berliner, die sich in Briefen und Berichten, in Erinnerungen und aktuellen Bekundungen mit dieser Stadt auseinandersetzen. Den Kern bildet eine Korrespondenz, die zwischen 1991 und 1995 zwischen den Autoren des Gedenkbuchs für die ermordeten Juden Berlins und über die ganze Erde verteilten Berliner Emigrantinnen und Emigranten sowie deren Nachkommen geführt wurde. Es geht dabei um die Berlin-Gefühle derer, die (oft als Kinder, mit oder ohne ihre Eltern) die Stadt nach 1933 verlassen mussten und die aus unterschiedlichen Gründen wieder mit ihr in Verbindung gekommen sind.All diese Briefe enthalten Emotionen: Zorn, Enttäuschung, Trauer, aber auch echte Zuneigung und großes Interesse an ihrer früheren Heimatstadt. Die Texte sind eingerahmt von Anmerkungen zur Geschichte der berlinisch-jüdischen Beziehung, zum Bruch 1933 und zum Weiterleben des spezifisch "Berlinischen" im Exil oder in der jeweiligen neuen Heimat.