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»Dir geht Gut Weyden doch über alles!«, hatte Rüdiger am Vorabend zornerfüllt zu der Baroness gesagt, als sie sich nach einem Streit trennten. »Du bist mit dem Gut verheiratet! In deinem Herzen hat ein Mann gar keinen Platz!« Jennifer von Weyden hatte in der Nacht keinen Schlaf gefunden. Am frühen Morgen, als der Tau noch an Gräsern und Sträuchern hing, war sie schon in den Pferdestall gegangen, hatte selbst ihre Stute Diana gesattelt und war ausgeritten. Die Natur erwachte, die Vögel zwitscherten. Jetzt hielt die Baroness auf einer Anhöhe des Nordharzes und schaute auf Gut Weyden hinunter. Seit fünf Generationen lebten die Weydens hier. Das alte Herrenhaus war Jennifer vertraut. Jeder Winkel, jede Ecke barg eine lieb gewordene Erinnerung. Sie konnte es sich nicht vorstellen, woanders zu leben. Mit ihren fünfundzwanzig Jahren trug Jennifer als Gutsherrin eine schwere Verantwortung. Sie strich sich das kastanienbraune Haar aus der Stirn. Die Stute schnaubte leise. Jennifer fuhr ihr liebevoll über die Mähne. Sie spürte Dianas Wärme, das Spiel der Muskeln unter dem glatten, gepflegten Fell, wenn Diana tänzelte, und sie genoss die milde Waldluft und den Ausblick auf Gut Weyden im Sonnenschein. Es war Mai. Das Korn auf den Feldern stand schon recht hoch. Es grünte und blühte überall.