Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Nous utilisons des cookies dans le but suivant :
Assurer le bon fonctionnement du site web, améliorer la sécurité et prévenir la fraude
Avoir un aperçu de l'utilisation du site web, afin d'améliorer son contenu et ses fonctionnalités
Pouvoir vous montrer les publicités les plus pertinentes sur des plateformes externes
Gestion des cookies
Club utilise des cookies et des technologies similaires pour faire fonctionner correctement le site web et vous fournir une meilleure expérience de navigation.
Ci-dessous vous pouvez choisir quels cookies vous souhaitez modifier :
Cookies techniques et fonctionnels
Ces cookies sont indispensables au bon fonctionnement du site internet et vous permettent par exemple de vous connecter. Vous ne pouvez pas désactiver ces cookies.
Cookies analytiques
Ces cookies collectent des informations anonymes sur l'utilisation de notre site web. De cette façon, nous pouvons mieux adapter le site web aux besoins des utilisateurs.
Cookies marketing
Ces cookies partagent votre comportement sur notre site web avec des parties externes, afin que vous puissiez voir des publicités plus pertinentes de Club sur des plateformes externes.
Une erreur est survenue, veuillez réessayer plus tard.
Il y a trop d’articles dans votre panier
Vous pouvez encoder maximum 250 articles dans votre panier en une fois. Supprimez certains articles de votre panier ou divisez votre commande en plusieurs commandes.
»Die Tür wurde geschlossen. Er zog das Klebeband vom Kopf, sah sich an: die linke Hand voll Blut, am rechten Fuß die Kette. Er sah sich um: ein weiß verputzter Raum, etwa drei mal vier Meter, niedrig, knapp über zwei Meter.«
Am 25. März 1996 wurde Jan Philipp Reemtsma vor der Tür seines Hauses in Hamburg-Blankenese niedergeschlagen und verschleppt. 33 Tage lang hielten ihn seine Entführer im Kellerraum eines angemieteten Hauses bei Bremen gefangen; erst nach Zahlung eines in der Geschichte der Bundesrepublik einmaligen Lösegeldes von 30 Millionen Mark kam er frei.
»Eine Entführung, eine Zeit außerhalb aller anderen sozialen Kontakte als der antisozialen mit den Entführern, ist eine Zeit aufgezwungener Intimität. Und dies innerhalb eines extremen Machtgefälles: absolute Macht dort, absolute Ohnmacht hier. Das lässt man nicht im Keller zurück. Denn den Keller lässt man nicht zurück. Der Keller wird in meinem Leben bleiben, aber so wenig wie möglich von der mir dort aufgezwungenen Intimität soll in meinem Leben bleiben. Das einzige Mittel gegen Intimität ist Veröffentlichung.«