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Der Hölle Rache kocht in meinem Herzen' - singt die Königin der Nacht in Mozarts Zauberflöte. Und auch im Herzen der Protagonistin in Olga Hohmanns Erzählung kocht es, schon seit sie ein junges Mädchen war. Dabei scheint es gar keinen konkreten Grund für diese tobende Wut in ihr zu geben: Sie gewöhnt sich daran, diese herunterzuschlucken, zu subsumieren, zu unterdrücken. Doch auch wenn das den Umgang mit ihren Mitmenschen zunächst zu vereinfachen scheint, fehlt etwas; etwas, das sie zunächst gar nicht artikulieren kann. Die Handlung des Buches, die sich auf den Verlauf eines einzigen Tages beschränkt, scheint gleichermaßen profan wie dramatisch: Die Protagonistin kommt, obwohl ihr wenig Außerordentliches geschieht, immer wieder in Situationen, in denen sie große Rührung überfällt - zum Beispiel, wenn sich ihre Nachbarin auf dem Balkon das Haar bürstet, sie auf dem Nachhauseweg die Läufer:innen des Berlin Marathons beobachtet oder sie während ihres Mittagessens, das neuerdings sieben Euro statt sechs fünfzig kostet, über ihre dauernde Hingabe zum Vergeblichen zu Tränen gerührt ist. Was ihr bleibt: ihre Stimme und ihre Wut. Wie die als 'schlechteste Königin der Nacht der Welt' bekanntgewordene Florence Foster Jenkins, die unter begeisterten Buhrufen des Publikums Anfang des 20. Jahrhunderts in der New Yorker Carnegie Hall auftrat und komplexe Arien virtuos scheiternd vortrug, nutzt sie ihre Stimme als Medium, das Raum einnimmt und Raum erschafft: einen Raum für den Mut zum schönen Scheitern, für Kontrolle und Transgression, Virtuosität, Überschreitung und Emanzipation. 'People may say I can't sing, but nobody can say I didn't sing.