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In seinem dritten Essayband steigt der Lyriker José F. A. Oliver in die Flüsse seiner Sprachen. Er weiß, dass alles fließt, und dass dies immer auch Zuversicht bedeutet. Ausgespannt zwischen mindestens zwei Sprach- oder Sprechkulturen und den filigran skizzierten Visionen ins mögliche Zusammenleben einer sich immer wieder überraschend erneuernden Gesellschaft, fertigt er utopische Skizzen an, die in jedem Satz das Vergangene als Fährten in die Zukunft aufschimmern lassen. Ein Spurenfund, der das Heutige meint und eint und sich in dem, was war, vielstimmig kristallisiert. Worte bergen Orte. Orte lassen Worte mäandern. »W:orte«, wie sie José F. A. Oliver bisweilen bezeichnet. Sie lotet er hoffnungsfroh aus, sodass im mehrkulturellen Klang und seinen Rhythmen Bilder hörbar, Träume und Räume geschöpft werden, Rettungsinseln im Fluss aus Migrationsgeschichten, nomadisch unterwegs zu sich selbst, aber darum nicht weniger denjenigen zugewandt, die sich dieser verdichteten Kurzprosa annehmen.