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Frédéric Valin schildert einen Pfleger in einer Behinderteneinrichtung, die Anforderungen der Arbeit, die nötigen Handgriffe und lässt in der Schwebe, was Routine und was Mitgefühl ist; er zeigt einen jungen Mann, der anlässlich des Selbstmordes einer alten Jugendfreundin in seine Heimatstadt zurückkehrt und feststellen muss, dass er nichts vom Leben seiner Mutter weiß und Empathie verlernt hat; einen alternder Oberbürgermeister, der seine Provinzstadt in neue Hände übergeben will, und im Wahlkampf für seinen designierten Nachfolger mit den neuen Medien konfrontiert wird. Er erzählt von einem armen Schlucker, der mit seiner reichen Freundin in der Vorstadt zusammen ziehen wird, aber gar nicht recht weiß, ob er die Stadtmitte eigentlich verlassen möchte und von einem Trinker, der trinkt, ohne den Rausch genießen zu können.
Frédéric Valin erzählt vom Abseitigen im Alltäglichen. Er erzählt vom Umgang mit Behinderung und Tod, Arbeit und Karrieremöglichkeiten, entfremdeten Familien und von Kompromissen, die man in der Liebe eingeht. In diesen Geschichten zeigt sich das große erzählerische Vermögen von Frédéric Valin. Seine genaue Beobachtungsgabe, seine Fähigkeit, diese in eine lakonische und teils melancholische, teils ironische Sprache zu übersetzen - die berührt und beeindruckt.