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Les deux textes ici rassemblés, « La dernière porte » et « In media vita », ont été publiés une première fois à plus de trente années d’intervalle. Le premier est sous-tendu par la révolte, si ce n’est la colère, le second par la mélancolie. L’un relate l’expérience de la captivité, l’autre celle de la défaite. Mais tous deux disent l’expérience qu’un homme peut faire de la guerre lorsqu’elle devient la façon dont l’historique s’introduit dans l’existentiel. Développant ainsi une méditation de l’expérience — ce processus de traversée —, Henri Maldiney se confronte ici au sens de l’apprentissage par l’épreuve autant que de la puissance de l’affect. C’est pourquoi ces deux textes ont en commun d’être écrits à la première personne : quel serait en effet le sens d’une épreuve qui ne nous affecterait pas ? Et pour autant, c’est bien philosophiquement que cette épreuve s’énonce, obligeant alors le penseur à trouver les ressources conceptuelles pour la dire, autant qu’à penser le concept de sorte qu’il laisse place à l’épreuve du pâtir.
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The two texts grouped together here, La dernière porte and In media vita, were initially published thirty years apart. The first has an undercurrent of indignation, if not anger the second of melancholy. One recounts the experience of captivity, the other of defeat. But both testify to the way in which man can experience war, when it becomes the means by which the historical intrudes on the existential. By developing a meditation of experience—this transitional process—Henri Maldiney tackles what it means to learn through suffering, as well as the power of affect. Hence both texts are written in the first person: of what value would an account of suffering be, if it hadn’t been personally experienced? And yet, this ordeal is expressed in philosophical terms, obliging the thinker to find the conceptual resources to describe it, as well as to think the concept in such a way as to leave room for the ordeal of suffering.