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Henry James' Faszination für Venedig schlug sich in Erzählungen und Romanen (»Die Aspern-Schriften«, »Die Flügel der Taube«) sowie in vielen Briefen an Verwandte und Freunde nieder. Von seinen Eindrücken berichtete er aber auch in fünf stilistisch ausgefeilten Essays, mit denen er 1909 seinen Band »Italian Hours« eröffnete. Sie werden hier erstmals in deutscher Übersetzung vorgestellt. Es handelt sich um Meisterwerke einer Porträtkunst, in denen James von den Atmosphären dieser einzigartigen Stadt auf luzide, hochelegante Weise erzählt. Mit ihm durchstreifen wir La Serenissima von seinem Quartier an der Riva degli Schiavoni aus, mit seinen Augen studieren wir in den Kirchen die Gemälde von Bellini und Tintoretto oder begeben uns auf den Balkon des Palazzo Barbaro, um das Treiben auf dem Canal Grande zu beobachten. Begleiter des Lesers auf all diesen Wegen ist Hanns-Josef Ortheil, der die Venedig-Passion des großen amerikanischen Schriftstellers teilt und aus seinem heutigen Erleben deutet.