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En la obra de Carolina Sánchez Pinzón, una de las voces más genuinas de la poesía colombiana actual, la palabra poética actúa como brújula y toma conciencia de lo cíclico. En este libro, la incineración es una alegoría del paso de las estaciones y los ritos iniciáticos. La autora representa con sutileza la emigración a medio camino entre dos ciudades, Madrid y Bogotá, levantadas sobre «arenas movedizas» en la inestabilidad del mundo contemporáneo. El viento invernal, la respiración de las hojas o la canícula se suceden con intervalos de silencio en un universo poblado de animales, que nos remite a la tradición medieval de los bestiarios. Voces antiguas o sucesión de presagios, allá donde «pequeñas tejedoras / desdoblan las calles» y el deseo «muestra su sólida mandíbula». VERÓNICA ARANDA