Comment monter un spectacle expérimental qui aurait
pour cadre le camp de Buchenwald, «un endroit où des
êtres humains se sont fait piéger» ?
Comment réagirait le public d'une pièce dont
le premier mot serait «Adieu !...» et c'est tout ? Ensuite
plus rien, ni acteur ni lever de rideau...
Mircea Eliade, dans ces deux fables étonnantes, entraîne
le lecteur à travers une réflexion sur la vie, le temps et la
mort.