« Il y a le souvenir, il y a la mémoire. Restent des traces. Il y a les taches, qui reviennent au bout des doigts. Il y a les amis, au coin d'une pensée qui, tant mieux, ne s'efface pas. Il y a le journal. À moins que Charlie Hebdo n'ait été bien plus que quelques feuilles de papier. Il y a le métier. Que l'on a appris là-bas avec eux et qu'on ne cesse jamais d'apprendre. Dessiner, putain, quel beau métier ! Y a pas moyen : ça part pas, eux non plus, indélébiles. »
Luz