« Irène est morte... et toi tu chantes ! » c'est la réplique que lance Alice, indignée, à sa mère qui lui a annoncé, quelques instants plus tôt, le décès de sa tante.
Face à l'insouciance de sa mère et au cynisme de son père, Alice va se confier à Vincent, son frère cadet. Des confidences
sur sa vie, ses regrets, ses doutes, son nouvel amour, mais aussi sur Irène, sa tante qu'elle aimait profondément, décédée sans avoir eu le temps de lui révéler son secret.
C'est une pièce sur les rapports familiaux, les non-dits, les malentendus, les faux-semblants. Où l'on voit que la gaieté n'est
pas héréditaire, et que derrière le cynisme du père se cache une vraie souffrance.
Quant au secret d'Irène, il pèse sur cette famille depuis des lustres.