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Vor 100 Jahren begann eine Zeit, in der es keine Gewissheiten mehr gab. In ihrem großen Essay zur europäischen Moderne erforscht Marjorie Perloff die ästhetische Welt, die aus den Trümmern Wiens und der habsburgischen Länder hervorging und die unsere Gegenwart nach wie vor prägt. Für viele der brillanten Autoren und Denker, die der multikulturellen und vielsprachigen Welt der österreichisch-ungarischen Monarchie entstammen, bestand das Trauma des Ersten Weltkrieges vor allem im plötzlichen Verlust jener geografischen Einheit, in der sie geboren worden waren. Die Autorin untersucht Karl Kraus' "Die letzten Tage der Menschheit", Joseph Roths "Radetzkymarsch", Robert Musils "Mann ohne Eigenschaften", Elias Canettis "Die gerettete Zunge", die Gedichte Paul Celans und die Tagebücher Ludwig Wittgensteins. Sie zeigt, dass alle Werke eines gemeinsam haben: die radikale Ironie unter einer scheinbar konventionellen Oberfläche.