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Der Liebesroman mit Gänsehauteffekt begeistert alle, die ein Herz für Spannung, Spuk und Liebe haben. Mystik der Extraklasse – das ist das Markenzeichen der beliebten Romanreihe Irrlicht: Werwölfe, Geisterladies, Spukschlösser, Hexen und andere unfassbare Gestalten und Erscheinungen erzeugen wohlige Schaudergefühle.
»Wo bist du?« fragte Cathérine traurig. Was dann geschah, verzauberte sie. Leises Geigenspiel weckte in ihr eine große Sehnsucht. Keiner ihrer Gedanken galt Jean-Baptiste, den sie doch so leidenschaftlich geliebt hatte. Sie konnte nur noch an Georges Dalton denken, dessen Fotografie auf ihrem Nachttisch am Wasserkrug lehnte und dessen Grab sie magnetisch anzog. Das Geigenspiel wurde leiser, ein süßer Duft umgab sie, der Duft von Rosen, der sie nach und nach betäubte. Reglos saß die Frau da und beobachtete gespannt die Spinne, die eifrig ihr Netz wob. Es wurde größer und größer, doch plötzlich hielt sie in ihrer Arbeit inne, glich einem auf der Lauer liegenden Raubtier. Die Fliege umflog laut summend das feingesponnene Gebilde. Cathérine de Flaubert hielt unwillkürlich den Atem an. »Sei nicht so dumm, flieg weg«, flüsterte sie. »Jetzt kann ich dir nicht mehr helfen«, fügte sie hinzu und spürte ein Brennen unter ihren Lidern, denn die Fliege zappelte bereits im Netz, dem Tod preisgegeben. Gefangen wie sie. Dem Tod preisgegeben? Nein, das nicht. Aber sie wäre lieber tot, als weiterleben zu müssen. Der Tod wäre eine Erlösung.