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1888 ermordete Jack the Ripper im Londoner Stadtteil Whitechapel mindestens fünf Frauen, allesamt Prostituierte aus ärmlichen Verhältnissen. Den Opfern wurden die Bauchdecken aufgeschlitzt, sie wurden ausgeweidet, die Organe teils mitgenommen. Seine Brutalität versetzte nicht nur das Viktorianische England in Angst und Schrecken – bis heute gibt der Fall Anlass zu Spekulationen und beschäftigt Wissenschaftler*innen und Verschwörungstheoretiker*innen gleichermaßen: War der Serienmörder ein Angehöriger des Königshauses? Ein Barbier, ein Arzt oder gar eine Frau? Auch die renommierte Thrillerautorin Patricia Cornwell hat einen Verdacht: Könnte es sich bei dem Mörder um den exzentrischen deutsch-britischen Maler Walter Sickert gehandelt haben? Die ehemalige Forensikerin beleuchtet die Indizien von damals und bedient sich dabei den Methoden moderner Kriminologie. Sie vergleicht die Handschrift des Künstlers mit den berüchtigten Briefen, die der Whitechapel Mörder seinerzeit an die Polizei schickte, analysiert die blutigen Motive seiner Gemälde, beleuchtet seinen familiären Hintergrund, spricht mit Expert*innen und skizziert so ein Persönlichkeitsprofil des mutmaßlichen Täters.