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‘Je gaat er niet dood aan’ is de herziene en uitgebreide uitgave van journalist Henk Blankens relaas over parkinson en dementie. Het is wél een goed verhaal, denkt Blanken als hij hoort dat hij parkinson heeft. Hij struikelt over tegels, kwijlt als hij een ui snijdt, hij beeft of verkrampt. ‘Je gaat er niet dood aan,’ zegt hij, ‘maar het loopt lullig af.’ Zolang hij erover kan schrijven, is het te doen. Hij vertelt over zijn vader en zijn zoon, over de schilder die God op een ladder zette, over de vriend die verdween en over de vraag welk lijden hij nog mee wil maken. Zo ontstaat dit bericht aan de achterblijvers, een verhaal over ‘al dat onuitstaanbare verdwijnen’. ‘Het went,’ schrijft Blanken, ‘maar wennen is wachten tot het minder wordt.’