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"Je pense à Yu se situe au cœur de la question qui me hante comme auteur : comment parler du monde sans faire abstraction de soi ? Comment parler de soi sans oublier le monde ? Mon écriture est en tension entre l'intime et le monde.” (Carole Fréchette) Madeleine, entre diverses obligations dans lesquelles elle n'arrive pas à investir son temps, est un jour attirée par un entrefilet dans le journal. Il s'agit d'un prisonnier politique chinois, enfin libéré dix-sept ans après sa condamnation pour avoir jeté de la peinture rouge sur le portrait de Mao à Tiananmen en 1989. Secouée plus qu'elle ne l'aurait cru, elle se met à reconstituer l'histoire de ce résistant, entraînant dans ses questions un voisin et une étudiante chinoise à qui elle donne des cours de français. Entrefilet est une sorte de “making off” de Je pense à Yu, une réflexion sur le rapport à l'information, au journal comme lien entre l'individu et le monde, mais aussi un petit coin de voile soulevé avec humour sur la genèse de la pièce, sur les chemins de la création et de l'écriture.