La terre provençale lui inspira des textes magnifiques et choisis qui respirent le midi. Ami d'Alphonse Daudet et de Frédéric Mistral (son mentor) il rédigea de nombreux textes provencialistes ; Jean des Figues (1868) Au bon soleil (1880), Contes de Paris et de Provence (1887), La chèvre d'or (1889), Domnine l'hommage à son pays natal qui est donc un roman Sisteronais (1894) le Midi bouge (1895). Plumitif acharné il passait l'été dans sa chère Provence et l'hiver à Paris en un rythme bien établi.
A l'instar de Molière il meurt un 17 décembre à sa table de travail alors qu'il rédigeait... un conte c'était en 1896.