Les ondes, les bouches d'ombre, les disques, les refrains sifflés par les cyclistes dans la rue, firent à Jean Sablon un grand usage vague aimé de tous, mais sans forme précise, comme le souvenir. Et voilà que le fantôme cesse d'être fantôme, s'incarne et que les belles chansons qu'il nous murmure à l'oreille vont retrouver une figure, celle d'un ami très cher.
Fêtons le!
Jean Cocteau