En 1999, Pierrette Sartin confiait à la revue «Le Cri d'Os» un
article où elle écrivait notamment : «Esprit indépendant s'il en
fut, Jehan Despert n'appartient à aucun cercle, aucun clan,
aucune école... Cavalier seul, il tenta de réconcilier par l'amour
charnel sublimé l'Eros et la Foi, ce que, me semble-t-il, aucun
poète avant lui, n'avait tenté avec une telle force... Une plus
longue étude qui engloberait la totalité de son oeuvre, serait
nécessaire pour analyser la pensée et le talent de Jehan
Despert... Il ne semble pas que la quête spirituelle à laquelle
Jehan Despert se consacre depuis des lustres ait jamais été
tentée sous cette forme...!».
Ce souhait vient d'être comblé par une étudiante, Celeste
Boccuzzi, dans la thèse, qui fait l'objet de ce livre, qu'elle soutint
devant le Jury de l'Université de Bari (Italie) sous la direction du
Professeur Giovanni Dotoli.