À quatre ans, Pierre Soletti dessine des poèmes à la machine à écrire. Plus tard, c'est sur les murs des villes qu'on le surprendra à peindre des signes. Il donne des lectures publiques, sculpte des copeaux de mots pour la scène, parfois pour la jeunesse et en particulier avec le groupe Facteur Zèbre.
Dans cette suite de micro-poèmes, il livre une réflexion sur l'attente sous toutes formes en se plaçant en observateur de la nature humaine.
Du même auteur, dans la même maison, on pourra lire J'aurais voulu t'écrire un poème suivi de Je dirais que j'ai raté le train et Je t'aime c'est décidé (2023).