« Les arbres qui craquent me terrifient, les feuilles qui sous la pluie frémissent me terrifient, les chats qui feulent dans le silence me terrifient, la pleine lune aussi. [...]
N'importe quel poète en ferait une ballade nocturne des plus romantiques.
Qu'est-ce qui cloche alors ?
Est-ce moi qui suis fragile ou est-ce que cette peur intrinsèque est partagée par toutes les filles ? »
Dina décide de rentrer chez elle à pied après une soirée. Elle marche seule sous la pluie, le plus vite possible. Elle a le sentiment d'être suivie, traquée, en danger.