J'étais sportif
mais ça va mieux
« Et puis tout à coup, le drame. Le geste inévitable, la bavure... !
Un des policiers venus en renfort est soudain pris d'une frénétique
envie de dégainer. Dans un hommage ultime à John Mac Lane et à
l'inspecteur Harry, il tente le coup de folie, le geste que personne
n'attend et qui transforme un policier ordinaire en sauveur de
l'humanité. Clint Eastwood et Bruce Willis n'auraient certainement
pas fait mieux. Notre héros a le même rictus que les plus grands
justiciers, ce fameux mélange de concentration avec une pointe
d'arrogance et de jouissance intérieure. Les yeux concentrés sur
la future victime, il se lance vers Alain Bernard d'un pas ferme et
décidé. Il dégaine un stylo et se met à hurler : "un autographe pour
mon fils Jonathan s'il vous plaît" !
En cette après-midi de mars 2008, j'ai moi aussi replongé dans la
maladie du sport. Je suis reparti trente ans en arrière... Retour au
sport-étude, retour au début de l'histoire. Je vais tout vous dire,
tout avouer, c'est promis. »
« Un humour piquant et une dérision que vont adorer
les amoureux du sport et tous les autres. Un régal ! »
Grand Corps Malade
« Une galerie de personnages cocasses dans des situations
authentiques. Un récit sans fard, drôle et désinvolte. »
Olivier Zilbertin (Le Monde)
« Une vision malicieuse et follement tournée en dérision
du sport de haut niveau... vous allez adorer ! »
Alain Bernard (double champion olympique)
« Un livre jubilatoire, impertinent, inconvenant,
impudique et touchant. Impossible de lâcher ce pamphlet.
Le lecteur est collé au coeur du vestiaire le nez dans le sang,
la sueur, le camphre et le fou rire ! »
Maryse Ewange-Epée (RMC/Moscato show)