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La collection « Un seul art », créée par Charles Dantzig, est publiée en coédition avec le Centre Pompidou. Durant les cinq ans de fermeture du Centre pour travaux, dix œuvres appartenant aux collections du musée continueront à vivre autrement, sous la plume d’un écrivain. Chacun s’en voit confier une pour en tirer, en écho, en miroir, en communion, une œuvre littéraire. Il n’existe pas de différence fondamentale entre les arts. Tous ne sont que des manières diverses d’abord au sensible et au caché.
Cet essai a pour point de départ une œuvre de 1981 réalisée par le célèbre photographe américain Robert Mapplethorpe. On y voit Jimmy Freeman, nu, le sexe en évidence, prostré dans un geste de soumission ou de dévotion. Son visage n’apparaît pas, il est transformé un objet esthétique, sinon sexuel. Jimmy Freeman fait partie des hommes noirs, beaux et musclés que Robert Mapplethorpe met en scène dans des compositions d’une perfection formelle saisissante, empruntant aux canons de l’art classique. Avec cette photographie, il n’en est pas à sa première provocation : il avait déjà secoué le milieu de l’art new-yorkais avec ses représentations de pratiques sadomasochistes homosexuelles. S’appuyant sur l’œuvre subversive de l’artiste américain, Joy Majdalani examine son propre rapport à la transgression, comme elle l’avait déjà abordé dans son roman Le Goût des garçons : est-ce son éducation religieuse et conservatrice qui la pousse à écrire des textes crus ? Est-il transgressif de soumettre le corps masculin au regard d’un sujet désirant ? L'essai intime d’une jeune autrice qui se confronte aux limites de la littérature dans le monde contemporain : que peut-on risquer au nom de l’art ? Le bien et le mal y ont-il une place ? Le beau offre-t-il encore la possibilité d’une rédemption ?