« Quel bonheur de photographier les jeux Olympiques ! »
Raymond Depardon
Des J.O. de Tokyo en 1964 à ceux de Moscou en 1980, Raymond Depardon apprend que, pour saisir un événement, il faut le devancer. Ainsi parvint-il à immortaliser la naissance du « Fosbury Flop », à capter la grâce des gymnastes. Mais aussi le poing levé des athlètes noirs américains à Mexico en 1968 et la prise d'otages de la délégation israélienne à Munich en 1972. Le stade et l'Histoire.