Reprenant l'histoire biblique de Job, Robert Francès la restitue dans sa propre vie : la déportation dans un camp nazi, puis la vie partagée avec une femme merveilleuse que la psychose conduit peu à peu au suicide et qui lui laisse deux enfants superbes, mais porteurs d'un gêne qui les ronge peu à peu.
Mais comme antidote unique de toutes ces souffrances, l'Eternel lui donne une force non pas innée, mais acquise par l'effort physique : l'endorphine, capable de neutraliser les plus grands chagrins.