Dans ces quatre pièces courtes,
Horovitz démontre à nouveau son
talent de raconteur d'histoires et de
«creuseur» du réel.
John a disparu. Une mère et sa fille
se déchirent tendrement après la mort
récente du père dans les cendres du
World Trade Center, un certain
11 Septembre. C'est l'heure des
bilans. Il a confié à chacune un secret.
Pourront-elles le partager ?
Dans un climat de lutte antiterroriste,
deux agents de Sécurité d'un
aéroport américain se transforment
en assassins par ignorance et par
bêtise.
Avec le monologue de Cat Lady,
vieille femme énigmatique, l'auteur
fait une nouvelle incursion dans le
conte fontastique.
Il nous livre enfin une fabie tout à
la fois triste et optimiste sur l'amour
dans Une fille pour le gros.
Le lecteur, tout autant que le
spectateur, est dérouté et séduit par
cet entrelacs de fiction et de réalité,
d'humanité et de poésie.