Journal de l'année du désastre
Florence, 1966. Le 3 novembre, la cité des Médicis est engloutie par son fleuve. Dans une petite pension des bords de l'Arno, Italiens et Américains partagent des heures de terreur et d'angoisse. Privés d'informations, craignant pour leur vie, ils guettent la montée des eaux à leur porte. Amoureuse de Florence où elle s'est établie, l'auteur fait la chronique du drame, jour après jour. L'Arno qui monte inexorablement, la détresse, les privations, le sentiment d'abandon... Et, lorsque le fleuve enfin se retire, l'ampleur de la désolation.
« Universalité du malheur, mais aussi de la solidarité et de l'incroyable capacité humaine à rebondir. »
L'Express