« L'obscurité apaisante, la douceur de la nuit, la route étroite bordée de maisonnettes de pêcheurs nous rendent à un amour primitif de choses simples : la vie première, féconde, songeuse, à trois... L'homme nu, dans le vin, est désarmé, a dit un écrivain italien, mais il n'est pas humilié, et cet endroit n'humilie personne.
C'est un peu l'histoire de cet été-là. Il n'y a pas eu de grands mots ni d'événements qui font les romans spectaculaires, mais une vie simple de trois êtres sous un ciel changeant.
Beaucoup d'orages et d'éclaircies. »