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Vous ne trouverez dans aucun dictionnaire le mot « rubriquard ». Par contre un verbicruciste célèbre l’a plaisamment défini : « journaliste courant » ! Mais si « rubriquard » n’existe que dans l’argot du métier, le mot « rubrique » (du latin rubrica : terre rouge) figure, lui, dans les dictionnaires les plus savants. Et cela parce qu’on imprimait toujours en rouge les livres de Droit et les titres importants et réguliers. Dès lors, le titulaire d’une « rubrique » a fini dans la peau d’un « rubriquard ». Mais si Roger Galy a passé quarante années de sa vie (1942-1982) à galoper, il n’est pas pour autant un journaliste courant. Il est plutôt du genre extraordinaire. Confronté à la vie de province – celle qui concerne 50 millions de Français sur 55 millions -, Roger Galy a engrangé de véritables petits trésors. Des savoureux procès de correctionnelle aux drames des cours d’assises, des croustilleux potins mondains aux faits divers les plus crapuleux ou les plus divertissants, des coulisses du théâtre à celles des journaux où, de l’aube au crépuscule et du soir au matin, on emplit et vide baignoires et lavabos, Roger Galy vous sert tout – ou presque – pour conforter votre petit-déjeuner quotidien. De fabuleux personnages surgiront devant vous et vous n’oublierez plus « l’homme qui photographie la Vierge », « la Sorcière de Gazinet », « Goya qui perdit son crâne au cimetière de la Chartreuse à Bordeaux » et des dizaines d’histoires extraordinaires qui auraient enchanté Edgar Allan Poe ! On passe vraiment des heures de choix, dans la plus parfaite bonne humeur, en compagnie de ce « journaliste, rubriquard de province ». Roger Achéritéguy