Évocation d'une Kabylie éternelle, où le village est décrit tel un vieux monsieur un peu bourru, où l'on perpétue des rites en faisant semblant de ne plus y croire. Ces Jours de Kabylie décrivent de l'intérieur une vie quotidienne emplie de traditions, menacées par un inexorable mouvement vers le futur.
Ces récits, rassemblés à titre posthume, ont la simplicité, distante et subtile, d'un retour aux sources, sobrement illustré par Charles Brouty.
«Il y a des joies qui ne s'achètent pas, des plaisirs insoupçonnés, des bonheurs simples et tranquilles dont il faut jouir en cachette.»