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Im Gegensatz zur Aphasie ist das Konzept der Kognitiven Dysphasie ein noch methodologisch zu erforschendes Feld, da es sich als Krankheitsbild taxonomisch uneinheitlich präsentiert und vergleichsweise schwer zu diagnostizieren ist. Wie wirken sich hirnorganische Erkrankungen, die nicht die klassischen Sprachareale betreffen, auf sprachliche und sprachorganisierende Fähigkeiten aus? Dieser Frage wurde in einer Studie mit Epilepsie-Patienten und angsterkrankten Patienten nachgegangen mit dem Ziel, kognitiv-dysphasische Symptome sowie den Einfluss von pathologischer Angst auf Sprache zu erfassen. Den Patienten wurden linguistische und neuropsychologische Aufgaben auf lexikalischer Ebene und Textebene gestellt. Mit unterschiedlichen Untersuchungsmethoden wurde versucht, sprachlich-kognitive Phänomene, die sich sowohl auf der Mikro- als auch auf der Makroebene beobachten lassen, sowie emotionale Faktoren zu beschreiben. Die Ergebnisse weisen auf Defizite bei sprachplanenden und -organisierenden Funktionen der Epilepsiepatienten sowie auf eine stimulusspezifische Verarbeitung der Angstpatienten hin.