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Der »Verfransungsprozess« der Künste, von dem Adorno gesprochen hat schlägt sich in Christian Grünys Buch in einer Verflechtung ihrer theoretischen Ausarbeitungen nieder. Eher als ein linearer Argumentationsgang ergibt sich dabei insgesamt eine Konstellation von Problemfeldern, die sich gegenseitig beleuchten und teilweise aufeinander aufbauen. Diese Konstellation versucht, das Wie der Musik auf möglichst reiche Weise zu konturieren.Die Begriffe, vermittels derer diese Konstellation aufgebaut und erläutert wird - Differenz, Resonanz, Geste und Rhythmus, Raum und Zeit, Materialität -, sind nur teilweise genuin musikalisch. Sie sind Begriffe einer philosophischen Ästhetik, die dennoch nicht auf die Musik angewandt, sondern an und mit ihr entwickelt wird. Philosophische Konstellationen zur Musik sind sie insofern, als sie dem Anspruch nach weniger über die Musik sprechen als sich zu ihr stellen, sich auf ihre Bewegung einlassen und so einen Zusammenhang produzieren, der etwas an ihr aufscheinen zu lassen versucht, was sonst nicht sichtbar würde.»Musik hat Sinn doch nur, wenn sie über ihre eigene Struktur hinausweist auf Strukturen - das heißt: auf Wirklichkeiten und Möglichkeiten - um uns und in uns selbst.« (Helmut Lachenmann): Musik hat Sinn nur dann, wenn sie mehr ist als Musik. Vor jeder Frage also, ob und inwiefern die Musik Sinn hat, muss es darum gehen, auf welche Weise sie eine Form des Sinnes ist. Ebendies aufzuweisen und auszuführen, ist die Absicht dieses Buches.