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Parteien-, Finanz-, Flüchtlings- oder Lebenskrise – Krisen scheinen zum Normalzustand geworden zu sein. Neben einem Moment der gesellschaftlichen Verwerfung sind Krisen aber auch gleichzeitig Induktionsmoment von Lern- und Veränderungsprozessen. Auch das Kursbuch war nicht vor der Krise gefeit. 1965 von Hans Magnus Enzensberger in Zusammenarbeit mit Karl Markus Michel gegründet, war es über Jahrzehnte hinweg das meinungsbildende Organ der Republik, das die intellektuellen Diskurse des Landes maßgeblich mitgeprägt hat. Über die Jahre in die Krise gekommen, wird es nun wiederbelebt. Das Kursbuch will – fortsetzend mit Nummer 170 – wieder eine Institution werden. Die AutorInnen aus Wissenschaft, Wirtschaft, Kultur und Medien werden darüber nachdenken, was moderne Gesellschaften prägt und verändert, was sie antreibt und hemmt, was sie befreit und behindert. "Krisen lieben" ist so also nicht nur Titel dieses Kursbuchs 170, sondern auch zentrale Diskussionshypothese des Kursbuchs selbst. Jasmin Siri argumentiert, dass die Krise für politische Parteien ein Demokratiegenerator sei, Florian Rötzner skizziert das Zusammenspiel von Medienkrise und Krisenmedien und Gunter Dueck widerspricht gar dem Titel des Kursbuchs und konstatiert: "Ich hasse Krisen."