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Manche Menschen reagieren regelrecht kopflos. Andere fühlen sich manchmal wie erschlagen oder erschossen. Das könnte daran liegen, dass sie gerade zu Mordopfern in einer von Ralf Kramps tiefschwarzen Storys geworden sind. Da gehen die Mörderinnen und Mörder nämlich nicht gerade zimperlich mit ihnen um. Mit Gift, Messer, Revolver und anderen Gerätschaften sorgt der König des Kurzkrimis dafür, dass sie bald keinen Mucks mehr tun. Eins ist sicher: Wer sich diese mordsmäßig munteren Kabinettstückchen in Reimform und Prosa zu Gemüte führt, wird schon mal nicht an Langeweile sterben. Totlachen wäre da schon eher angesagt.