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Uno de los poemas menos conocidos de Allen Ginsberg, y también uno de los más actuales. En 1996, Allen Ginsberg tenía setenta años, se encontraba muy delicado de salud y le quedaba apenas un año de vida. Impulsado quizá por la urgencia de cantar unas últimas verdades, y a pesar de sus escasas apariciones públicas durante aquel período, el poeta beat se lanzó a un gran proyecto final: el de musicar, en colaboración con Paul McCartney y Philip Glass, una colección de pequeños poemas que acababa de publicar en la revistaáThe Nation: se trataba de laáBalada de los esqueletos.Inspirados en la festividad mexicana del Día de los Muertos, estos esqueletos universales reproducen y padecen los males de nuestra sociedad, ejercen y a la vez sufren el poder, dejándose el cuerpo en ello. Entre todos conforman la danza macabra del sistema de agotamiento, explotación y destrucción en que vivimos. Sus versos, tan radicales como divertidos, azote de la moral estadounidense, mantienen hoy su feroz condición de sátira carnavalesca, cobrando una sorprendente y acaso terrorífica actualidad.Esta edición bilingüe cuenta con la traducción de Andrés Neuman: una versión brillante y creativa que hace honor a la fuerza, el humor sarcástico, la expresividad y sonoridad de sus versos originales; así como con los memorables grabados del artista mexicano José Guadalupe Posada que, según el propio Ginsberg, supusieron una fuente de asombro poético.