Jean-Michel Baylet ne s'est pas
contenté de gérer un imposant héritage
politico-médiatique. Il a su le projeter
dans le 21e siècle en l'adaptant aux
temps actuels du féodalisme capitaliste.
Quand le citoyen devient un client, le
clientélisme devient un moyen d'exister.
Aussi, la perte de sa baronnie en 2015,
peut intervenir au moment même où
son empire médiatique s'agrandit
jusqu'aux limites de la nouvelle région
proche de l'ancien Comté de Toulouse.
Sa façon de gagner des élections,
étudiée au millimètre, nous projette
dans un avenir sans politique, et fait du
personnage un pionnier d'un monde
sans règle... sauf la sienne ! Cette
originalité incite à le sortir de la ridicule
image du radicalisme-cassoulet.