La beauté du diable, ou comment le désir vient aux femmes. Le désir d'être belle, de se croire une reine, le désir d'allumer les regards de convoitise et d'envie sur son passage.
Kayo aurait pu mener une existence fade et rassurante de mère au foyer à Tokyo. Jusqu'à ce que germe en elle une graine qui va définitivement changer sa vie. Cette histoire aurait pu tout aussi bien se dérouler à Paris, Londres ou Delhi ; dans n'importe laquelle de ces capitales où prévaut le culte de l'apparence et du luxe, où la pétillante ivresse du shopping peut se transformer en drogue, et le paradis en enfer.
« Il y a, dans l'écriture de Radhika Jha, une simplicité envoûtante, qui met à nu les comportements humains les plus déviants, et les plus déchirants. » (Marine Landrot, Télérama.)