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Ce « récit fictif », sous la forme d’un fragment de journal intime — si l’on peut dire — tient surtout du poème en prose. Étrange amalgame, dont l’héroïne, la récitante, nous décrit minutieusement les lieux qu’elle visite : ceux que préférait un homme qui a disparu. Dans cette Capture imaginaire, se heurtent un dandysme (paysages précieux, accords de piano dans le parc, thé, visites de musées), et des situations violentes (un triple assassinat). Ne négligeons pas la « présence » d’une lettre en la possession de l’héroïne (mais a-t-elle jamais été lue ? ou seulement écrite ?) et qui « pourrait sauver quelqu’un du désastre ». La compréhension de ce message, dépend de « la lecture difficile de chaque lettre, pour reconstituer un mot ». L’auteur raffine — on dirait du Virginia Woolf récrit par un poète pop — et devient le metteur en scène de sa propre expérience : les images de la vie sont traitées comme des cartes postales ou des diapositives. Cette distanciation permettrait de « déchiffrer la mémoire de nos gestes », d’interroger les mécanismes de la mémoire, à la limite, de l’abolir ? Françoise Thieck pratique une sorte de désenchantement exquis et douloureux — un nouveau romantisme 1980.