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Aussi vieux soit-il, le mot contestation fut redécouvert avec effroi par la civilisation du transistor lors de la flambée de colère de mai 1968. Les jeunes gens qui entonnaient alors L’internationale étaient frères en rébellion du paysan, du conscrit, de l’ouvrier s’insurgeant depuis toujours contre l’hydre de l’oppression. A l’image des chansons qu’il présente (du Temps des Cerises à Mes Universités), ce livre n’est pas destiné à une quelconque élite gardienne d’un musée du folklore, mais à tous ceux qui savent encore apprécier l’essentiel du quotidien. Chantées au jour le jour les chansons ici présentées possèdent le qualité rare d’avoir souvent incarné la conscience d’un peuple. Elles sont de celles qui fleurissent au milieu des pavés, au grand vent des répressions. Voici des chansons de sueur et de sang. Ne vous étonnez pas les ignorer : des barricades de la Commune à celles de mai 68, haut est le mur du silence dressé par les tenants du pouvoir.