« Mon année avec Ines se résume à cette complicité immédiate, jamais envahissanté, à des plats cuisinés ensemble ou à ces portes ouvertes sur un miracle offert dans une assiette, à nos confidences et à nos fous rires, aux rituels parce qu'il y eut Natale et la Befana dans le même élan, la Semaine sainte et ses processions de femmes en noir, les têtes couvertes d'un voile en dentelle, qui pleuraient la mort du Christ juste avant la Pasqua, il y eut San Giuseppe, San Nicolà di Bari, et chaque fois mille choses à manger pour les accompagner. J'ai pris sept kilos, cette année-là... »