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L’élection présidentielle de 2012 fait partie de ces rares élections où, six mois avant l’échéance, le sort du second tour paraissait scellé. Elle se distingue fortement des derniers scrutins (1995, 2002 ou 2007) qui avaient connu un jeu politique plus ouvert et incertain. Tout s’est déroulé comme si les « figures imposées » l’avaient emporté sur les « figures libres » : figure de la mobilisation gauche-droite, figure des préoccupations économiques et sociales, figure du bilan dans un contexte de crise… À l’hyperprésidence de Nicolas Sarkozy, fragilisé à droite, a répondu la campagne de François Hollande en faveur d’une présidence normale. Le candidat socialiste a profité de l’effet catalyseur de la primaire socialiste pour rassembler son propre camp. Il a su aussi agréger des protestations diverses et hétéroclites qui, l’élection acquise, ont retrouvé leur pouvoir dissolvant et perturbateur.
"Ceux qui se demandent pourquoi le chef de l'Etat semble parfois marcher sur des œufs doivent lire l'ouvrage publié sous la direction de Pascal Perrineau, directeur du Centre de Recherches politiques de Sciences-Po". Nouvel Observateur, 21/28 février 2013