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Vingt ans après L’homme sans gravité, Charles Melman et Jean-Pierre Lebrun poursuivent leur dialogue sur les conséquences de la mutation de société à l’œuvre depuis près d’un demi-siècle, véritable bouleversement anthropologique pour la vie collective et la subjectivité de chacun.
À partir du film Petite fille, exemplaire sur la problématique de la dysphorie de genre en pleine expansion, ils se demandent si la possible autodétermination de l’enfant qui serait capable de se penser sexué à partir de lui-même est une avancée sociétale ; ou si elle témoigne d’un déni de la réalité, en l’occurrence anatomique, d’une récusation du sexuel et d’un refus de consentir à ce qui le détermine en tant qu’être parlant.
À travers l’actualité brûlante où les présupposés implicites de la question du transgenre résonnent avec la vie politique elle-même, ils osent s’attaquer au point crucial : l’évolution de notre société nous entraîne-t-elle vers davantage de civilisation ou contribue-elle à nous déciviliser ?