Flatterie, jeux de rôles et retournements de situation : les deux farces les plus célèbres du Moyen Âge rivalisent d'inventivité pour déployer la ruse sous tous ses aspects !
Maître Pathelin a rondement mené son affaire : il a acheté « à crédit » une étoffe à sieur Guillaume, et l'a si bien abusé qu'il n'acquitte pas sa dette. Mais à malin, malin et demi : il apprendra à ses dépens que « tel est pris qui croyait prendre »... Quant à La Farce du cuvier, elle permet à Jacquinot de renverser les « rôles » au sein de son foyer.
Ces deux farces font écho l'une à l'autre, conjuguant duperie, rebondissement et jeux sur le langage sans autre morale que le plaisir de tromper le trompeur.
¤ Objet d'étude : Résister au plus fort : ruses, mensonges et masques
¤ Dossier pédagogique spécial nouveaux programmes
¤ Prolongement : Charlot s'évade, un court-métrage de Chaplin