1914.
Dans le train qui le conduit au front, Célestin rencontre celui qui va devenir son meilleur ami, Katsuo.
Français par son père, Japonais par sa mère et soldat par malheur, Katsuo l'initie à l'art des haïkus : « Les premiers poètes qui écrivaient des haïkus étaient toujours par monts et par vaux.
L'avantage du haïku, c'est qu'il n'est pas encombrant...
Ni pour la tête ni pour les poches ! »
Aujourd'hui.
Pépé Célestin a 111 ans et se souvient...
À partir de 10 ans