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La Grande Sauvagerie, c’est le nom que les coureurs de bois du Canada français ont donné à ce qui s’est appelé, en d’autres temps et d’autres lieux, The Wild : l’espace inviolé, le blanc sur la carte. L’expression s’est perdue et ne parle plus guère à personne.La Grande Sauvagerie, c’est aussi un lieu-dit, un rocher qui domine un coin de la campagne limousine. Les guides touristiques le signalent à l’attention pour sa lanterne des morts, une simple tour de granit, sans grâce.Les habitants du pays ont oublié depuis longtemps qu’un feu y brûlait jadis, qui guidait les voyageurs dans la nuit.Thérèse Gandalonie a grandi à Saint-Léonard, à l’ombre de la lanterne des morts. Puis elle s’en est allée. Elle a traversé l’océan. Elle a découvert, dans les bibliothèques américaines, le Journal inédit de Jean-François, peintre d’ex-voto établi à Montréal, cousin à la mode de Bretagne du Grand Rameau. Elle a compris en le lisant que les deux Grandes Sauvageries renvoyaient l’une à l’autre.Quand elle s’en retournera, elle saura désormais apercevoir, infusée dans le paysage, une histoire oubliée de tous. Elle la déchiffre pour nous. C’est sa voix que nous entendons, une voix rocailleuse traversée par le vol des lucioles.